5 avr. 2016

CR Cyberpunk - ish.


Cyberpunk: c'est le bordel. Dans un monde indéfini, ou les implants et la bio-technologie ont dépassé les plus fous espoirs du 21ème siècle, la société UBER existe encore et l'humanité se balade en Zeppelin à l'occase.

Notre aventure commence avec un junkie qui se réveille dans un hôtel miteux de New York, ayant aucune idée de ou il se trouve ni de comment il est arrivé là.

Cet individu suspect à pour principale qualité la générosité avec sa drogue (puisqu'il en proposera, ou l'imposera, tout au long de l'aventure, à ses partenaires), la faculté de disparaître pour des raisons qui lui sont propres, et surement d'autres atouts mais qui échappe à votre narrateur.

Il rencontre un homme qui lui propose une mission floue, et lui donne par la suite un rendez vous dans un bar à pute pour lui donner plus de détails sur la mission.

Ce même individu rencontre à tout de rôle d'autres personnage: un technicien des bois habillé comme Bono de U2, un agent de la sécurité particulièrement moche, et deux journalistes.

Des deux journalistes, il suffit de dire que l'un sait conduire et l'autre ne sait rien faire.

les différents protagonistes, réunis pour parler de la mission, en apprenne pas beaucoup plus - il s'agit d'une "extraction", un plan qu'on nous promets très simple, mais nous ne savons pas qui, ni pourquoi, ni qui paie.
En guise de faire connaissance, ils esquivent les tentatives de roufie du junkie, se regarde en chien de faïence, puis décide de faire alliance.

Notre troupe s'empresse d'accepter la mission aveuglement et l'anarchie règne dès la première minute: le junkie disparaît, les journalistes envoient des mails à leur directions pendant qu'ils tentent de trouver de quoi faire du chantage vis à vis des membres de leur équipes, et l'individu suspect leur donne une carte de crédit pour l'ensemble de l'équipage. bien évidemment, sans préciser le montant disponible sur la carte.

Nos héros, muni d'une adresse ou ils doivent se rendre pour kidnapper une scientifique, se prépare au combat:

le junkie achète un vomitron, sorte de machine géante qui envoie des ondes dont l'effet est de provoquer des vomissements incontrôlés.
le vigile achète un fusil de ouf, tout les équipements qui vont avec, mais "oublie" de le prendre avec lui.
les journalistes font le tour des lieux, mais n'arrive pas à distinguer que la seule porte possible pour pénétrer dans le bâtiment est verrouillé.
un chapitre parallèle de l'aventure fait état de la rencontre du junkie et du mécano avec une tarlouze pirateur informatique, rencontre qui va s'avérer utile pour réussir la mission, mais les détails restent flous et vous seront mieux contés ailleurs j'en suis sur.

Le moment arrive - le vigile bute sur la porte fermé, en appelle au mécano qui lui ouvre, sauve la princesse et s'enfuie de là avec elle.

La scène qui suit voit la scientifique et le mécano marcher au ralenti vers la voiture de fugue ou un des journalistes (au passage, LE SEUL de l'équipe qui sait conduire) attend tout le monde. ils mettent environ 4 tours à faire 40 mètres, pendant que le vigile à le temps de faire des cabrioles, abattre des agents de la sécurité avec l'aide du chauffeur, courir à la voiture, revenir chercher la scientifique qui a pris une balle, la charger dans la voiture, partir.

le vomitron reste sur le bord de la route pendant que l'équipe s’échappe.

Tout ce beau monde trouve un médecin pour sauver doc, récupère le reste de l'équipage, file à l'aéroport prendre leur zeppelin (j'espère que vous pensez à indiana jones à chaque fois que j'emploie ce mot), et parte direction l'autre cote américaine.

Aventure à suivre, mais des chuchotements dans l'oreillette me font croire que le mécano a démissionner voyant le niveau bien trop professionnel de l'équipe, que l'équipe est passé complètement à coté de l'intrigue et que la scientifique cache des informations vitales.

Qu'importe, la direction des journalistes est au courant de chaque fait et gestes de l'équipe donc la presse triomphera.

0 motherfuckers.




6 commentaires:

  1. hahaha excellent CR qui reflète bien le niveau complétement confus de la soirée qu'on a passé. tres bon. a refaire et poursuivre naturellement. zero

    RépondreSupprimer
  2. ça pour être confus c'est confus :) j'ai rien bité! mais ça avait l'air marrant.

    RépondreSupprimer
  3. comme c'est très calme ici - permission de CR mes petites vacances?

    RépondreSupprimer
  4. attends depuis quand il faut des permission pour un CR? gogogo ! t'as intérêt à avoir des bonnes pics à l'appuie. fail du jour sinon

    RépondreSupprimer
  5. That's pretty funny Twitter live streaming games?? Wonder how that's gonna work.

    I just wish they got rid of Thursday games altogether, really fucks up a team's rest for the following game.

    RépondreSupprimer

Laisse un commentaire ou zap comme un malpropre. Quoiqu'il en soit t'es pénalisable.