29 août 2018

Contre CR des CR en masse et évolutif. Un WE à Treffort

Vacances vacances.

Invité par les Moldonche en belle famille, me voila dans le train vers Bourg en Bresse le vendredi pour une arrivée vers 21h. Rencontre de Marie, la maman, de Valbene, la réfugié, de Rachel, la... euh la je sèche, j'ai aussi déjà croisé quelques chauves souris, 4 chiens, un chat, bref, le parigot à la campagne avec un sentiment d'être à l'auberge espagnole version animale.

Nous allons ensuite rejoindre la fête chez Seb, le frangin, un gars bien bien cool avec qui ça accroche aussitôt.



mise à feu, rencontre de pleins de gens sympas, couché 4h30.

Le lendemain, c'est tout les copains qui sont réunis chez Marie, vous les connaissez tous des pic-nics à Versailles. preuve en image:



Petite histoire drôle du matin, je trouve le courage d'aller courir, je propose à Arnaud qui m'avait dit être partant. Celui-ci se roule un boze pour la course (true story), cours aussi vite qu'il peut pendant 200 mètres, s'arrête pour me demander du feu, recours 200 mètres, propose qu'on monte le ravin parce que la route c'est chiant, puis claque et termine en marchant. (le mec avait des courbatures le lendeamin quand même). ce mec est trop drôle.

Maxine est avec nous, et est toujours sous bonne garde -



On a remis ça le lendemain chez un copain de la bande dans un moulin, une fête qui a bien envoyé du paté.




c'est bien quand on brûle les canapés pour que les gens partent que tu sais que la fête à été bonne.

Je recommande Treffort - lieu très beau et copains déglinguos, et la maman de Ju est archi cool. photo de paysage pour vous terminer:





Bon et pour d'autres nouvelles, j'ai signé pour un taf à Amsterdam, j'ai démissionné, je kif. J'y serais en Décembre.

0.

28 août 2018

CR Japon 2018

Je profite du jetlag pour rédiger le CR. J'ai pas les photos de Misako (elle rentre le 30 Août) et j'ai pas été très assidu sur la prise de photos, j'éditerai plus tard si besoin.

Je passe sur le voyage aller. Réveil bienheureux, petit déjeuner sur la terrasse, voici la vue. 36°C environs, ciel bleu, océan quasi-tiède. Le kif. Jetlag minimal, bien reposé, paré à affronter l'océan.


Ma belle-mère a un potager bien fourni, donc c'était le régal matin midi et soir de fruits et légumes du jardin cuisinés à la japonaise, avec sauces au miso, au sésame et autres délices. Sans oublier les friandises préférées du sieur Payz, poiscailles et coquillages.

On bulle 2 jours Toki et moi chez belle-maman, alternant entre plage, onsen (bains publics japonais) et expériences gastronomiques puis Misako arrive.



On part une journée avec son frère et son neveu sur l'ile d'Iki. Voyage en bateau d'environs 1h30 depuis Karatsu, avec son château médiéval.


Riku, le cousin de Toki.


Sitôt arrivé, sitôt dans la flotte. J'ai pris zéro photos sur la plage. Les japonais aiment modérément la baignade et préfèrent buller sur la plage bien à l'abri du soleil, ou faire des activités nautiques. Du coup, à part quelques adultes et des gosses au bord de la plage, j'avais l'océan pour moi tout seul. J'ai fait du snorkeling parmi les petites méduses et poissons divers et variés dont j'ignore le nom. Les méduses ici étaient trop petites pour être douloureuses, par contre j'ai une belle cicatrice sur le mollet après m'être baigné à Itoshima. C'est peut-être pour ça que les Japonais hésitent à aller dans la flotte. Il en faut plus que ça pour me décourager cela dit. La spécialité culinaire de l'ile d'Iki sont les oursins, donc il va sans dire que j'ai eu une pensée émue pour mon cher ami Robert, qui se serait copieusement régalé, nul n'en doute.

On a passé les jours suivants entre maison et plage, répétant le matin pour le concert du 18 Août et profitant de l'été l'après-midi. On a fêté la fête des morts, pendant laquelle les fantômes des proches décédés rendent visite à leur famille. Il faut donc leur préparer pitance :


Puis brûler des brindilles pour qu'ils puissent retourner de là d'où ils viennent. Wherever the fuck that is.

Les couchers de soleil du coin sont magnifiques mais je suis piètre photographe hélas :


Par contre Toki se démerde pas trop mal pour un enfant de 5 ans je trouve :


Le concert s'est bien passé, on est allés dans un restau de spécialités de Fukuoka avec des amies de Misako après. La bouffe au Japon a vraiment rien à voir avec ce qu'on peut trouver dans les restaux japonais en France. On a mangé des tripes avec des légumes sautés, du tofu fermenté qui ressemblait un peu à du lait caillé entre autres. La mère de Misako trouvait dommage qu'on fasse qu'un seul concert du coup elle s'est décidée à en organiser un second chez elle (elle a une salle qui peut accueillir une trentaine de personnes pour ses expos d'artisanat) le 25, soit un jour avant mon départ.

La semaine suivante était un peu plus remplie socialement parlant, parce que Misako voulait voir ses amies d'enfance. On a passé un peu plus de temps en ville.




Le musée de l'histoire de Fukuoka a été rénové récemment et vaut le détour.

Les copines de Misako ont pondu une ribambelle de gamins :


Les deux sœurs sur le canapé (Oto-Ha et Wakana) sont absolument délicieuses de gentillesse. On a dormi chez leur maman ce soir-là. Jamais rencontré des enfants aussi bien élevés. Le lendemain on est allé à l'aquarium avec cette famille.



Saurez-vous retrouver le gamin français sur cette photo?

On apprend ensuite qu'au concert du 25 seront présents une chanteuse japonaise et son mari pianiste de jazz. Je cherche qui ils sont sur internet et merde ce sont deux grands musiciens. Coup de stress, va falloir assurer. Bon je me laisse pas aller pour autant et je continue mes tribulations estivales les pieds dans l'eau :


Il se trouve que ce pianiste (Allemand d'origine, vivant entre New-York et Fukuoka) est une crème. Non seulement super musicien mais d'une profonde gentillesse. On a joué une bossa-nova avec lui et pris contact pour se revoir quand il passera à Paris la prochaine fois. Il parle couramment 6 langues, apprend le japonais, joue super bien, et a su rester humble. J'étais à la fois ravi et impressionné.

Ultra-méga-dég de rentrer le lendemain. Comme d'hab à l'aéroport de Fukuoka ils me font chier avec la guitare. Je dois palabrer au check-in, puis avec les flics, puis à la porte d'embarquement pour passer avec. Et comme d'hab, une fois dans l'avion aucun problème, l'équipage en à rien à secouer de ma guitare, ça rentre facile des les coffres. Comme c'est un avion à destination de la Chine, c'est plein de chinois qui ont fait des emplettes au japon. L'avion déborde de trucs duty-free. D'ailleurs c'est le même coucou qu'à l'aller, c'est à dire pas de télé à bord. Je lis la version anglaise du journal Chinois proposé à bord. Réchauffement climatique, Donald Trump, développement de la région, conflit avec les USA, blablabla. Comme on est dimanche, il y a nettement moins de monde à l’aéroport de Dalian. Du coup les flics sont moins chiants (ou j'ai pas eu de chance à l'aller). Je remplis leur paperasse, scan d'empreintes digitales, et basta. On attend 1h et puis on remonte dans le même avion, direction Pékin. Arrivé à l'aérport de Pékin je me débrouille pour me planter de chemin encore une fois. C'est tout marqué en Anglais mais cet aéroport est vraiment trop grand et les indications pas vraiment limpides. Je finis par arriver au bon endroit. 8h d'escale, pas grand chose à faire (j'ai pas d'argent chinois) et Toki qui fatigue. On se pose dans un fauteuil et il finit par s'endormir. 2h plus tard il se réveille en pleurant "Papa j'ai le nez qui coule." Je regarde... du sang partout. Il nous a déjà fait la même à Garches. 25 mouchoirs et 15 minutes plus tard ça saigne plus. Par contre le siège et le tshirt ont morflé. Les gens nous regardent bizarrement, pensant qu'on a peut-être une maladie contagieuse, je ne sais pas. L'aéroport est endormi (minuit le dimanche). On se ballade vers la porte d'embarquement dans des couloirs déserts et on finit par trouver un petit parc avec des jeux pour enfant. Ça fait passer le temps. On finit par embarquer. Boeing787 Dreamliner, business class. Ça sera sans doute la seule expérience de ce type de ma vie, dommage que je sois si crevé, mais en même temps, ça tombe bien j'ai un siège qui se transforme en lit. Je commande un whisky, Toki dort déjà. Je mets un film (Lincoln), je finis mon verre et je tombe dans les bras de Morphée. Je me réveille pour le petit déjeuner 2h avant l’atterrissage, remarquablement bien reposé pour un voyage en avion aussi long. Ensuite, ben CGD1, embouteillages sur le périph, porte maillot, les nuages, 20°C. Coup de blues. On arrive à Garches, les courses, le courrier, une amende qui attend Misako au chaud dans notre boîte aux lettres, la rentrée. Snif.

J'aimerais bien vivre au Japon, mais en même temps ensuite tout serait inversé, ça serait la France les vacances et le Japon la lassitude du quotidien. Dommage que ce soit à l'autre bout du monde.

6h44 du mat, ça fait 3h que je suis réveillé, j'ai battu Payz! Zéro du mardi.

P.S. Album photo

9 août 2018

The Transparency story



Je ne sais pas pourquoi mais depuis hier j’ai vraiment envie d’écrire un « Etat des lieux » de mon aventure Transparency vant de partir envacances, car je sens que ce qui se passe est assez unique et va beaucoup influencer ma vie pour les 40 années à venir.

L’histoire de Transparency ne commence pas qu’en 2017 lorsque l’autre connard m’a viré comme un sale gant alors que je lui avais bâti un très beau business à partir de zero. L’histoire commence en 1997 lorsque j’arrive à Babson College, car tout commence lorsque j’ai eu cet amour de l’entrepreneuriat. J’ai réalisé assez rapidement que sans expérience et sans argent de départ on ne peut pas faire grand-chose. Donc j’ai commencé à bosser pour des boites comme Putnam investments pour rentrer un "cheque à la fin du mois" (en reviendra plus tard la dessus) et payer le loyer.

Ensuite, en 2004 le Squale m’appelle et me propose de monter un boite jacuzzis en Californie. Sans hésitation, je fous tous mes trucs dans ma caisse et je fais le voyage de Boston à San Diego. Une vraie expérience entrepreneuriale! On devait tout gérer du produit à l’usine au SAV. C’est clairement ma première expérience en tant « qu’entrepreneur » et je ne l’oublierai jamais. Merci Secra ! Cependant, on était un peu jeune, donc on a vraiment réussi à exploser comme on en avait rêvé.

En 2007, c’est le grand retour en France après presque 10 ans aux US. Expériences très variées mais assez « financiers » avec Putnam et Wells Fargo. Je pense que ça joue beaucoup dans ma facilité à analyser les différents business que j’intègre. En commençant par la compréhension financière du business, c’est assez facile de s’adapter.

Premier ENORME merci au Captain qui m’a dit « Ah tu cherches un taffe ? Bah je pense qu’on a besoin de commerciaux qui parle anglais chez Takezo ». Pendant mon entretien, j’ai entendu la phrase la plus mythique de quelqu’un qui lit mon CV. Elle dit “Si t’as vendu des jacuzzis, t’auras aucun soucis à vendre du Google ». 2008 was the beginning of my digital marketing adventure, so thanks a million Captain, the financial world was boring as fuck.

J’étais assez loin du monde de l’entrepreneuriat auquel j’avais gouté avec Softub, mais fallait trouver un moyen d’avoir « un chèque à la fin du mois », donc j’ai même pas essayer de chercher à me relancer dans le monde des entrepreneurs. En plus, j'étais en train de faire ma "formation digitale" avec des beaux incentives commerciaux.

En 2010, je tombe sur une opportunité que je vais classifier de « corporate entrepreneurship ». C’est un concept assez simple, qui me permettait d’avoir une grande flexibilité dans mon travail, car j’était le seul sur le territoire français pour la boîte.

Cette expérience est arrivé à un fin en 2011, pour le meilleur moment de ma vie. Je rencontre la femme de ma vie. Je mets tout en pause pour faire ma vie avec elle. Meilleure décision professionnelle que j'ai jamais fais.

2012, faut retrouver ce « chèque à la fin du mois » donc je passe par la case Webo. Bah oui, ce chèque revient tout le temps car il faut bien payé le loyer, acheter la beuh, etc.
Mais 2014 arrive et nouvelle grosse opportunité de « corporate entrepreneurship ». Je deviens le 34ème employé mondial d’une boîte qui grossira à 300+ employés en moins de 4 ans et vient de se vendre pour $850M.

En 2016, le Captain encore une fois, est le catalyste dérrière mon évolution professionnelle. Il me parle d’un mec Marc Pritchard, qui devient vite mon business idol et je nomme ma SAS, Transparency. Donc, lorsque j'étais au fond du trou professionel car c'était la première fois de ma vie que je faisais viré, l'inspiration de créer Transparency est arrivé. Encore un mieux, merci énormément Captain!

Je crois fermement que tout arrive pour une raison, donc c’est aussi grâce à ce connard qui m'a viré  que j’ai créé Transparency. En moins de 6 mois, j’ai déjà un client qui me paie tous les moi et je suis en train d’exploré bien sûr d’autres projet en toute liberté et flexibilité. C’est évident que ce « chèque à la fin du mois » ne sera plus là de manière automatique. Il faudra simplement que je trouve comment faire marcher mes projets pour avancer, mais j’ai assez confiance que je vais y arriver.

Sur ce, je pars en vacances demain. C’est le moment de décrocher pendant quelques semaines et ensuite j’ai bien hâte de m’impliquer de plus en plus dans tous mes projets à la rentrée.

ZERO !



8 août 2018

Carnet de voyage : Japon 2018

Je tente un nouveau format : un post que j'éditerai au fur et à mesure pour être le plus proche du ressenti.

Donc un voyage totalement improvisé dû au fait que ma mère, prenant sa retraite l'année prochaine voulait liquider ses miles qui allaient périmer, et nous a donc payé un voyage au Japon. Ca se refuse pas. Business!! class pour Toki et moi avec escale en Chine, éco pour Misako avec escale à Taiwain pour cause d'emploi du temps divergeants (Misako bosse avec des Japonais jusqu'au 10). L'offre qui se refuse pas, rien à foutre des escales en Chine, voyager en business gratos, je réfléchis pas une seconde je signe.

Paris-Pékin. Putain le pied. Des sièges ou tu peux t'allonger comme dans un pieu, du St-Emilion et du whisky 20ans d'âge à volonté. Un seul hic. Mon fils à la pêche. Il est à donf. Zéro sommeil. Je sens le bad trip à l'arrivée. Je le raisonne. Rien n'y fait. Zéro sommeil.



Arrivée à Pékin 9h plus tard sans encombres. Np je me dirige vers "international transfers" dans un aéroport qui semble endormi (4h du mat heure locale). Un peu surpris de pas voir mon vol sur les écrans mais bon j'ai 4h d'escale, je m'attarde pas sur le fait. Toki fatigue, je dois le porter. J'ai la guitare sur le dos plus nos 2 sacs. Le mec mate ma carte d'embarcation "you are in the wrong terminal, you need to go to domestic flights... do you have a visa?" Stupeur. A visa? Wtf. Je suis en transit. Wtf. Je me dirige vers la police qui m'aboie dessus. Empreintes digitales, photo, documents à remplir, ok ok np. Toki commence à peser lourd.
Je prends le train de l'aéroport vers le terminal domestique. 5h du mat. On dirait le RER A à l'heure de pointe. Une queue de malade à la police. Je sympathise avec un couple d'Allemands. J'ai mal aux bras. Je tente la pitié avec un fonctionnaire de police... aucun résultat. Je passe les flics, je pue la sueur, Toki est ko. J'ai pas de fric chinois. Je trouve ma porte d'embarcation, il fait 15°C, la clime est à fond. Toki grelotte en dormant. Je le mets en boule et j'improvise des couvertures avec les fringues de rechange. Un orage torrentiel éclate. Je lutte contre le sommeil. J'ai oublié de préciser qu'entre la police et la porte d'embarcation j'ai marché 20 minutes dans l'aéroport. J'essaie de discuter avec mes voisins pour lutter contre le sommeil. La nana du guichet se barre sans rien dire. Il parait que le vol est retardé à cause de l'orage. Je mendie un SMS à un Japonais pour prévenir mon beau-frère que je vais avoir un retard inderterminé (il doit venir me chercher à l'aéroport). J'ai froid, j'ai envie de pisser, mon fils est KO dans mes bras. Je commence à badder. Environs 3h plus tard (j'ai perdu la notion du temps, à force de lutter contre le sommeil) j'avoue que j'ai abandonné mon fils sur un siège pour aller pisser, j'en pouvais plus. L'orage se calme. Un bus finit par arriver pour nous emmener à l'avion. Un vieux Boeing 787 des années 80 bien crade. Heureusement l'hotesse est super sympa et parle Anglais. 1h plus tard (l'orage à foutu le bordel) on décolle, 4h plus tard escale à Dalian. Je sors de mon semi coma quand l'avion attérit sur la piste. J'entretiens un instant l'illusion que je vais pouvoir comater dans l'avion pendant l'escale. Quedalle, retour à la case police et check-in. Heureusement Toki va mieux, il est reposé il peut marcher. Je suis en galère. Les flics me font chier parce que j'ai oublié de remplir un papier. Je fais tomber mon stylo par terre. Ils me mattent comme si j'étais drogué. Bad trip. Finalement ça passe. J'ai perdu le groupe. Je me dirige vers la porte affichée, j'entends une annonce comme quoi ça change de porte, à l'autre bout de l'aéroport. Okok, j'ai capté, c'est pas mon jour. Voyage gratuit = karma gets back to you. C'est bon, encore un effort et c'est bientôt fini. On remonte dans le même avion pourri (datant de l'époque où il y avait un écran pour tout l'avion dans l'allée centrale, pour vous situer). M'en fous, je suis bientôt arrivé, le buens petri peut commencer. Arrivée à Fukuoka avec x heures de retard. Le personnnel adorable. J'ai ma valise direct. J'attends pas. Aucun problème. Mon beau-frère est là. Accollade virile mais affectueuse. Direction chez ma belle-mère. Diner en famille, saké de luxe. Gonna crash the bed. Zéro.

Jour 2 :

Ma vieille tablette ASUS s'allume plus donc je rédige avec mon téléphone, ce qu'est nettement plus lent. Réveil vers midi, bien reposé. Au programme, d'abord la plage. Bon j'ai merdé je suis parti sans téléphone donc faudra faire marcher votre imagination. Plage de sable fin, Toki à pied sur 30m, eau chaude, paysage de montagnes autour. Une dizaine de familles max sur toute l'étendue de la plage, on se marche pas dessus. On glande sur place 2-3h plus direction le onsen (bain chaud public) avec Toki, ma belle mère, et mon autre veau frère (Shogo). Moi c'est près trop mon truc l'eau très chaude donc je cuis près trop longtemps dedans, mais c'est vrai que ça relaxe. Ensuite direction le restau de sushi qui tourne. Toki est aux années. J'avais récupéré mon téléphone donc : 


Puis retour à la maison, CR au pieu. La suite au prochain épisode. Zéro.

Jour 3 :

Réveillé à 6h du mat par le lever du soleil et le clapotis des vagues. C'est bon les vacances! Je vous ai fait une petite vidéo de la maison, mais j'arrive pas à l'uploader. Je ferai ça à Paris. Misako arrive ce soir, si le typhon perturbe pas trop les vols. Zéro.

Jour 4 :
Tldr :