17 oct. 2012

Buffalo Cotton en concert

[BEGIN SHAMELESS PLUG]



Billets bookés pour Marco, Jenny, 2T et Heather = ok.

Je sais pas si vous avez reçu la version électronique par email mais sinon j'aurais les versions imprimées avec moi le soir même aussi donc vous emmerdez pas.
J'aurais peut être aussi 2 billets en rab si Greg et sa femme se désistent.

C'est situé dans le 11e métro près de metro cambronne.
Bon quartier et relativement centrale donc ça le fait.

Le bar "La Baraque" à l'air sympa et stylé d'après les tofs du site (mieux que le Swan Bar) mais n'oublions pas qu'ils ont eut le très mauvais goût d'accueillir en main event un supposé fameux DJ (passeur de CD at best... lecteur de playlist at worst) qui risque d'attirer bon nombres de blaireaux.

Bref  la foule va nous taper sur le système. Ambiance prépubère probable (meet the Bibers...), repère de connards branchés (aka hipster fomblard avec des prétentions de VIP bobo) et barmans qui se la pètent sont à redouter.

Tout ce qu'on aime quoi.

Captain joue des coudes pour se rapporcher du comptoir en zinc
_ "je voudrais une pinte svp"?

Le barman, surjouant le mec préssé et naturellement désagréable, ne lève même pas les yeux
_ "...on fait pas de pression...."

Soupir
_ "...ok une 'teille d'heineken alors?"

Le barman, les yeux toujours rivés sur sa plonge et à peine articulant ses mots
_ "Nan! Desperado ou Smirnoff Ice uniquement...."

Consterné
_ "hein... euh ... bon une smirnoff fomblard alors"

Enfin le barman lève les yeux. Il fixe
_ "Pardon?"

Captain
_"rien. laisse tomber fomblard. I'm just here for Buffalo Cotton.

[/END SHAMELESS PLUG]

 ZERO

16 oct. 2012

MLB – ALCS – New York Yankees at Detroit Tigers


MLB – ALCS – New York Yankees at Detroit Tigers

The Yankees actually know how to hit Verlander; it’s not like the Athletics that had a collective career .090 against him. There are a lot of decisions for Girardi to make in terms of the lineup, but it’s always better to have more options than fewer. The Tigers have always been very good at home in the postseason, but the Yankees have also been known to be pretty good on the road. I don’t see the Yankees losing three straight so I guess I’ll roll with the pinstripes tonight.

PICK: New York Yankees
H’s PICK: YANKEES!




14 oct. 2012

captain fomblard!

Le 12 Octobre 2012. Notez cette date dans votre journal personnel (si si je sais très bien que vous en tenez tous un), vous pourrez plus tard raconter à vos petits enfants que vous, oui vous, vous avez assisté, participé à un anniversaire du Captain. De son propre aveu le premier depuis ses 12 ans!

Étaient présents, entre autres personnes que je ne saurai nommer, :
  • le CPSAV (Comité Pour Souhaiter des Anniversaires à Volonté)
  • le CSDPP (Comité Supérieur du Payz pas Propre)
  • le CHU (Comité du Hipster Uruguayen) : Nelson avec un pull blanc à rayures bleues, que Payz, JB et moi-même, toujours au fait de la dernière mode, avons jugé hipster
  • D'autres comités fortement alcoolisés étaient de la partie.
  • La BAF a zappé, hélas. Pénalité.
  • Gregoire (Weil), Oliver, Julien et Seb.

La soirée pour ce qui me concerne débute par une promenade dans « Panzer ». Dès mon arrivée dans le véhicule, une forte odeur d'ammoniaque et de carcasse en décomposition me pique les narines. Payz salissait de sa présence le siège passager. Nous nous dirigeâmes toutes fenêtres ouvertes à vive allure vers le centre de Paris.
Après avoir incendié plusieurs scooters mal stationnés, nous arrivons au quai 21 où nous retrouvons Isabelle & compagnie. S'entame une attente arrosée du birthday boy qui ne se doute de rien!
Un peu avant 21h, le visage décomposé de JB apparaît dans l'escalier. Une surprise! Il hait les surprises, et s'empresse de nous insulter collectivement en nous faisant la bise. Outrés par un tel comportement, nous le punissons en lui offrant des cadeaux. Il fait tout de suite moins le malin.

Après plusieurs plateaux de charcuterie et de hamburgers maison, les convives sont passablement bourrés. Captain se lance avec moi dans un débat sur les élections US mais l'alcool aidant, il est totalement incohérent. Un passant sympathise avec Payz après lui avoir taxé une cloppe, et lui propose de se bastonner avec des écossais. On finit par bouger vers 2h du mat. Le groupe migre vers un bar « irlandais » voisin. Payz & moi, excédés par la musique de djeuns, squattons la rue. On se fait accoster par des quidam en piteux état... tout y passe, hormis les classiques « t'as pas une cloppe », un gars nous demande si on a pas une capote pour dépanner son pote. C'est consternant Paris à 4h du mat.

Au retour dans la caisse, nous assistons à un véritable pugilat. Lorsque Captain apprends que Nelson à perdu son mot de passe pour le blog et que – c'est la goutte d'eau qui fait boule de neige – il a fait confiance à Deute pour lui créer son compte. Le ton monte tout de suite, des noms d'oiseaux sont vociférés à plein poumons. Sophie dort. Un mec bourré se vautre par terre comme une merde dehors. 5H du mat.

Retour à Garches pour moi, levé 7h30 1er cours à 8h je vous raconte pas la tête dans le cul.

J'ai passé une super soirée!

Zéro.

13 oct. 2012

Vous êtes des ordures

Vous m'avez bien eu bande de batards! Mais je vous pardonne. Bien que certains propos hier soir étaient dangereusement incriminant (cf Nelson en pleine confession d'oublie de mot de passe) vous avez representé dignement la zerozappance. Ce  fut festif et je m'en suis mis plein la tronche donc objectif réussi. Deous je sais pas ce qu'on était en train de se dire sur les democrates, la dettes, clinton et la politique étrangère mais ca m'intéresse. Si tu peux me rafraichir le débat ou m'en faire un petit digestif ce serait bienvenu. Payz jt'ai embrassé bordel!! Trop marrant comme soirée en tout cas. Deute et Klobster bande de cachottiers de la veille.... vous avez trop assuré aussi.  Lobster et le kif du bon pinard... du bon frometon... et du meat and potatoes à l'ail. T'es un génie. 2T je kif trop mes verres. Fais teps du paté plus souvent aussi stp!

Zero

11 oct. 2012

Italie

Italie in general and Rome in particular... well it just leaves you speechless. 

Au progammes 14 jours de vacances : 

5 jours à Rome
2 jour à Capri
4 jours à Positano (Amalfi, Ravello, Praiano, Sorrento)
3 jours à Naples (Pompei)


Du haut de la Basilique St Pierre

Au phallus de l'antiquité

 En passant par les suisses du vatican
Le forum de César

Le colisée

Capri

Et ses eaux tourmentées

L'italie vous suprendra

Vous apaisera

Vous ensoleillera

Et vous titillera

De Positano

A la grotte d'émeraude
Des rue naples, aux graffitis abondants

L'italie ouvre l'appetit et s'accompagne toujours d'un bon vino rosso
Napoli, Centro Storico


Remarquez le Vésuve dans le fond à gauche

Ca vous laisse sans voix


Sans voix et  sans zappance

ZERO









10 oct. 2012

Barcelone

Alors c'est simple. A Barcelone on était même pas à Barcelone. On était à Cabrera De Mar. A 20KM à l'est dans une maison qu'on avait loué et ma zappance a été encore plus scandaleuse qu'a New York.

Et voici la visite guidée des lieux :



On a rien foutu de la semaine à part se branler, bouffer, picoler, se faire des passes de volley dans la piscine, (172 = record de passes entre Oliver, Matt et Moi) jouer au Taro, jouer au 421, aller à la plage, se faire bouffer par les moustiques (cf tof de Luc plus bas) et un tout petit peu de tourisme (flaner dans barcelone un soir et se taper le musée Dali un autre).

Le dos de luc après une demi heure de lecture au soleil. Sont voraces les moustiques à coté de Barcelone. 

Ca c'est le motif de décoration que l'on retrouve partout à l'exterieur et à l'intérieur du musée Dali. Juste à chier!

Ya un arc de triomphe dans Barcelone. Construit en 1647 il célèbre la seule victoire de Barcelone sur Bilbao lors du grand concours de la siesta de 1638. 

La playa est pas la plus clean du monde du coté de Barcelone. Mais ya de quoi prendre son pied. 

ZERO







New York

Que dire de New York. On est parti pendant l'entre 2 tours de la campagne présidentielle et j'ai... comment dire... un peu zappé. 

Oui oui je l'admets et je l'assume. 

Donc je vais pas pleurnicher et vous pondre un compte rendu truffé de nostalgie et de lyrisme pour cette ville de ouf car je me sens pas vraiment touriste dans cette ville. En revanche j'ai tous le temps la dalle la bas. 

Maintenant le soucis c'est que j'ai pas tellement mitraillé à New York (et encore moins à Barcelone vous verrez). J'ai quelques clichés évidemment dont je vous fais part ci dessous mais ya pas de quoi réveiller un moine. Juste des petites légendes pour rendre ce poste un peu plus cocasse.


Je vais laisser parler les images. D'autant plus que je zappe sur TOUTES les photos où l'on me voit. Bref j'ai assez honte et je suis moi même outré de mon comportement (nothing like a little self deprecation). 


Dimanche 29 avril , on atterri au couché du soleil à La Guardia et en moins de 25 min on arrive au niveau du Williamsburg Bridge et je "snap" notre premier cliché. La zappance commence. 

Delpeuch nous attends de pieds ferme. "You're late playa!" Deux minutes plus tard on est au East Side Deli en train de commander des Brooklyn Lager's et des giant BLTs avec "extra pickle, cheddar and avocado". 


Lendemain matin, réveil en douceur et un pur temps de printemps. Gros kif et fumage de clope sur le fire escape de Matt. 
Le programme de la semaine est simple. Ya pas de programme. Juste se balader partout...

et bouffer le plus possible de hot dogs et de giant pretzels.

Brooklyn Bridge (aka Broker Bridge dans GTA IV) 
Fuuuuuuuuuuck! J'ai zappé. En revanche je GTA style a fond. 


Les galéries de Chelsea, toutes gratuites et ouvertes au public. On peut y voir plein de toiles, de gadgets et d'installations vraiment cool. Ya aussi pas mal de trucs a chier. Mais je dirai que c'est moins foutage que certains trucs qu'on peut voir au MOMA (Metropolitan Museum of Modern Art) 

Sieste à Central Park

Probablement le park urbain le plus cool et le plus relax au monde

J'ai oublié le nom de ce bar mais il était mega cher. Yavait des bouteils de champagnes à 15 000 $ au menu. Mais il était assez cool. 

Quand tu vas aux chiottes dans ce bar la ville entiere peut te voir et toi tu peux voir la ville entiere. (Vu des chiottes. Looking north)

Vu du bar (Looking South) On apercoit dans le fond la grande tour en construction qui remplace les tours jumelles. 

Flat Iron building. C'était pendant longtemps le plus grand immeuble de NY. Ensuite l'Empire State est arrivé et la surpassé. 

 Nelson était de passage aussi donc l'avant dernier jour on s'est fait le MOMA ensemble.

Ya des trucs de ouf dans ce musée. 

Mais aussi de véritables daubes !

Que dire de plus. New York c'est beau, c'est bruyant, et c'est big. Je kif.

ZERO


9 oct. 2012

Cuba

Ahh man Cuba!

That place leaves a mark. A very special kind of mark.
Sort of like your first scar or your first tatoo i'm guessing.
Both thrilling and enticing, painful and vibrant yet everlasting and historical.  

And if you've ever time traveled my friend, then you'd know what i mean.
You'd know what it's like.
For that was no plane that we'd just landed on. More like an old fashioned time machine with some fancy dashboards and a massive wingspan.

Yeah you'd know what it's like.
That gentle disorientation. The slight dizziness. The stillness of time.
The slow moving feet. The sweaty heat. The ancient warmth of tropical climates.
Those velvet spanish sounds. This was no 21st century.

I felt it soon as the air hit me. That thick salty sea air.
Wafting with diesel and the sound of crushing waves.

Because yes Havana is a seaside town. Just a few hours south of Vice City...

Havana, Cuba

... and just a couple decades behind. Fastened with a rustic smells of leather and drying paint. Showered in hard rhum, mint mojitos  and traffic fueled cigar smoke. Ahh man, this is what a midnight meal in Havana looks like :

Shrimp and lobster skewers

Ahh Havana, something else I tell ya!

Something else and incidentally the starting point to our little 8 day road trip around the island.


Heading west out of the city we gunned it to Pinar del Rio, capital of the province of the same name, industrial center for the tobacco plantations nearby and home of the number one baseball team on the island.

Nothing much to see in the town except for a bad lunch so we hooked north towards Viñales (the heart on the map), the main village at the heart of tobacco valley.

We hoped to find a road that could take us to a beach on the nearby west coast. We drove through the valley and man what a sight !  We knew we'd have to come back but the ocean was calling that day my friends. Hence I put my foot down on the gas.

That's correct.

I was driving again.

Yep. Without anyone's permission and I was fucking loving every minute of it.

Viñales Valley. Speeding through. What's not to love?!

Sophie was copilot and, guidebook in hand, was reading up on a some supposedly awesome beach nearby that sounded heavenly. Problem was we were roughly 800 km west of where she thought she was taking us and I had no idea yet.

And so she lead. And I drove along. Following her directions. Left. Then right. Then straight. Then stop. Wait. No. Uhm. Shit. Ok. Lost.
Lost. As in foliage and nothingness all around.
Lost and completely off course. The sun was going down and we were going to be mosquitoe meat any minute. With instinct our only source of guidance now, we pushed west hard and fast across dirt paths for the better part of an hour. It got stressful and shaky and then suddenly we burst out onto a main road. Never in my life was I as happy to see asphalt.

Happily I drove on !

The road lead south along the coast. A few miles later we noticed a small toll booth with a sign. It was for a smaller road leading west straight to the coast. I mumbled some spanish to the guard who then responded "Beach that way amigo... closing... sleeping no possible though." I said we would just be looking around and he let us through. Five minutes later we saw a few huts and so I parked the car got out and went to check it out.

Made it. Just in time for mosquito inferno.

This would have to do for we had nowhere else to go and most everyone we'd met had told us not to drive at night. And thus it was perfect. We'd sleep on the beach and die of mosquito bites.

Cayo Jutia (star #2 on map)
 Quite à nice beach though.
Cayo Jutia

Next morning we'd wake up, have a swim and maybe make friends with the local Cubans.

Rhum in the Gulf

And by maybe, I mean maybe we'd start sipping rum from the bottle at 9 am on a overly crowded 'pedalo' in the middle of the Gulf of Mexico. Just maybe.

Of course things went down great. Once tipsy, we chilled by the beach all day and then headed back to Viñales and its magical Tobacco Valley with our new friends. The plan was to hang out in the village for a bit and  check out the local plantations, take in the views and hopefully live to tell about it to those still stuck in the present.

Campesino working the hard way
Thus the next day we would head out on horse-back to the nearby lake and have a swim.


Sophie et Caramelo
The lake with no name

Luis et Fenando zappent outrageusement.
Ils le savent et ils ne sont pas content.

After our swim, we would then head back up in the hills to meet with Jose, their cousin.

Jose's shack on the campo

With Jose we would then smoke some freshly rolled cigars and drink some well deserved honey mojitos. We would end up staying over 4 hours in that hut. Smoking, drinking and talking the best mojitos, cigarillos and spanish ever conceived.

Here's how Jose made the first real cuban I ever smoked:



I never smoked anything so sweet my whole life. Everything about it was magical, earthly and pleasant. I'd smoked cigars before this and always wondered what the hype was all about. Man I can't tell ya. You just have to go and try these babies for yourself. These were as fresh as can be. Barely 9 months old. The youngest they come from what I understand. 3 months to grow the leaves. 3 months to dry the leaves and then 3 months of storage & fermentation.  It just doesn't get any better than that. The best part about it was the honey glue. Gave the smoke a caramel flavor that was so good I wanted to break up the cigar, grab a fork and start swallowing pieces! Right. Getting carried away now so moving on.

After Viñales, we had to come back the way we came all the way back up through Havana and then east and south towards the Bay of Pigs (#3 on the map) and then Trinidad (#4).

The Bay of Pigs...

...should be called the Bay of Crabs.
We had to stop for these little fellas every two minutes. 

Calleta Buena, Playa Giron (my 1st diving session)

Trinidad biggest bad ass band.
They call themselves The Beatles.
(not)

Trinidad

Once in Trinidad we explored the countryside, rode some more horses, made and drank some sugar cane juice,  chilled in the jungle, swam in waterfalls and basically just ate, smoked and drank to our heart's content. 

Horseback riding, Trinidad countryside
This is way harder than it looks.
I mean it is a brutal fuckin workout. 
Definitely worth the effort. Cane juice with lemon. 
Rambo 3
Paradisio, Trinidad jungle
Do I look like am zapping ?
Supplies for the road. From Viñales to Trinidad
Best damn avocado salad I've ever had, Trinidad
Things do end you know and just as we began the 300 km trip back to Havana from Trinidad. Our transmission broke. Our piece of shit chinese car had failed us and we were stranded. With only 48hours to go before our flight back. Luckily some mechanics from the same car rental company as our were the first car to show up. I mean seriously. This place man! Something else I tell ya. 

The clutch was fucked and they couldn't do anything about it but somehow they manage to get the car in gear and keep it there long enough to make the 70km drive to the nearest city, Cienfuegos where they drop us off at the agency. 

 I'm able to pull some fluent spanish out of my ass, talk to the rental company guy and get him to send us another vehicle pronto! Within less than 2 hours we were off again within less than 4 hours... 

We were back in Havana...

Havana, Cuba (looking east from the tallest building in town)

For one last night... 
La Bodeguita Del Medio, Hemingway's favorite bar in Havana


One last dip... 

Hotel Nacional de Cuba


One last Cuba Libre. 


And that's how we ended it. 
Because that's the only way to end it with this island. 

The only way off. 

The only way out of that time capsule and back to the now. 

With a solid drink. 

Zero