19 oct. 2016

Amsterdam 2016 - CRathon.

Si le Marco d’il y a 4 ans rencontrait le Marco de ce weekend, il se serait bien foutu de sa gueule. « tu cours ? tu dois être débile toi ».
C’est vrai que c’est con. Déjà c’est chiant de courir. Ca abime tout, ça fait mal aux genoux et au dos, et tu bouffes la pollution en guise de sport dès que tu sors dans ta ville. Sans oublier que le premier mec qui a fait un marathon est mort à l’arrivée !

Mais bon. Quand tu cours, ton corps secrète de l’endorphine – de la drogue quoi. Et moi j’aime bien la drogue. (parait que c’est addictif aussi).

Le marathon d’Amsterdam commence pour moi avant la ligne de départ – il commence 3 jours avant, à la sortie de l’anniv de JB, quand je rentre à la maison et que je me rends compte que j’ai chopé le rhume de Jen.
Deux jours de thé, de diète, de Fervex et de couette, puis le train vers Dam, la pasta party de la veille avec ma sœur et son mec / mon pote Coen (prononcé « coune ») sa meuf, et d’autres potes français et dutch, et me voilà le petit matin, debout à 6h. enfermé dans la cabine de douche + chiottes de l’hôtel pour éviter de réveiller mon pote Cedric, qui a fait le voyage avec moi, mais qui ne court pas le marathon s’étant blessé en s’entrainant pour.

Comme JB et Nelson vous l’attesteront, c’est dans ces moment-là que les détails comptent – or, le caca est bon, j’y vois comme un signe positif pour la course à venir. J’ai mon iPod nano, j’ai mes barres d’énergie, mon dossard, ma petite sacoche de main pour avoir un peu de boisson énergisante entre les ravitos. Je suis prêt ! et que diable ce rhume qui s’est réveillé ce matin, parait qu’un peu de fièvre peu aider… ?

Je retrouve Coen devant l’entrée du stade olympique, on est chaud, tout le monde est sympa, c’est gavé de français. Je trouve mon sas, et go ! nous voilà parti.

Les premiers kilomètres passent comme dans un rève – je me sens bien, la foule est sympa, je trouve mon rythme malgré mon nez qui coule et mon cœur qui bats un peu vite.
Des premiers panneaux marrants (“just finish it ! that’s what she said”), et pleins de français dans la foule. Des drapeaux bretons, des « allez les gars », mais bordel je suis à Dam quoi ! sont ou mes cris de Grüüts ?
On passe le Vongel park, puis sous le Riikjs museum (magique), et on part au sud de la ville. Toujours cool, et je me retrouve à discuter avec le mec des 4h (comprenez, un mec qui cours avec un panneau « 4h », vous devinerez jamais en combien de temps il termine le marathon), on passe les 10 bornes, mon nez coule, mon cœur bats vite.

S’ensuite un passage ou on sort de la ville, pour suivre un canal avec des maisonnettes toute mignonne devant des champs et troupeaux à perte de vue – des mecs qui font du jet-pack aquatique sur le canal – toujours dans le rythme, je sors mon ipod et m’envoie la playlist du mariage de Teather, ramené pour l’occasion. Première fois de ma vie que je cours avec de la musique, c’est pas mal en fait. Mais cette playlist est bizarre – je me souvenais d’un enchainement hyper bien travaillé, ce qui semble pas être le cas – peut être que dans mon souvenir c’était mieux ? (je me rendra compte le lendemain que j’avais mis le bordel en lecture aléatoire). Deuxième panneau cool, deux anglais avec chacun un – le premier « always give 100% » - le deuxième « except when giving blood ». j’envoie un petit mouchoir pour me féliciter du coup.

On passe la moitié de la course – 2h00 pour moi – je suis sur le même rythme que le précèdent. On quitte le canal pour arriver sur une zone industrielle. Panneau « if my mom can do it, you can do it ».
J’arrête d’écouter l’iPod, je me dis qu’entendre les gens nous encourager va me motiver.
Et là, c’est la crise. Km 26 – je défaillis. Sans trop comprendre, je passe d’une allure contrôlée et constante (autour des 11km/h) à je me traine, j’ai mal, je comprends pas. Mon corps, après 2h30 d’efforts, me fait comprendre que 3 jours de diète + pas assez d’oxygène = vengeance. Mon cœur s’emballe, je suis pas bien, je marche 1 minute. Ravito, verre d’eau, banane, ouf ! ça va mieux.

Panneau. « only 14.7 km to go ». putain mais 14.7 bornes quoi ! mon nez coule. Mon cœur bats trop vite. Je me dis, je sais plus trop. Quelle connerie cette course. Je hais ces gens. La vie est nulle. Je marche. Je cours. On est au km 31. Putain 11 bornes encore ! mais c’est éternel ! ca fait 3 heures que je cours. La zone industrielle est moche. Ya peu de monde. Je passe un groupe de supportrice française, elle chante une connerie. Je les hais.
Mais je tiens encore. On sort de la zone industrielle. La ville revient, les foules aussi. Les ravitos s’enchainent. J’en peux plus de boire de la boisson spéciale. De l’eau putain. Des éponges pour me rafraichir la gueule. et me moucher dedans après, j’ai plus de mouchoir. Km 36. Je craque. Je marche, l’impression que j’ai évité de m’évanouir. Je marche vite pour éviter que les crampes s’installe (en fait c’est de l’acide lactique qui se mets au niveau des muscles, et la s’est foutu), mon cœur bats trop vite même quand je marche. Je cours. Je marche. Ravito. Je cours. Je marche. Km 38. Putain ça dure 5 kilomètres un kilomètre en fait. Des gens partout. Panneau « hurry up, the kenyans are drinking all the beer ». me fais même pas sourire (Il me fait sourire aujourd’hui).

On repasse le Vongel parc. Ça sent la fin, mais j’ai vraiment plus la force. Je cours par tranche de 400 mètres. Me reste un kilomètre, mon pote Coen (qui a fini en 3h19 l’animal, soit déjà depuis 50 minutes) me voit et m’encourage. Du coup je passe en courant, j’ai mon orgueil moi monsieur. Le stade se dresse devant moi, je sais que c’est l’arrivée. J’arrive même pas à m’en rendre compte. J’ai mal, je suis mal, je veux de l’eau. M’arrêter. Entrée du stade. « marco ! allez marco ! » je me retourne, ma sœur dans les tribunes, j’agite vaguement la main dans sa direction, j’en peux plus, l’arrivée est là. 200 mètres. 150 mètre. Je lève les bras, les deux, je me sens religieux presque. 50 mètres.

4h17. C’est fait. Quelqu’un à un mouchoir ? j’ai le nez qui coule. J’ai mal. Je veux de l’eau.

J’ai mis une petite demi-heure pour sortir du mal absolu, puis à boiter vers le tram pour retourner à l’hôtel. L’endorphine arrive en masse, ça va mieux. Je remarche 2 kilomètres pour retrouver l’hôtel, traversant la ville avec ma médaille autour du coup (et mon nom écrit dans mon dos aussi). Mon pote Cédric me retrouve devant l’hôtel, il y a un ascenseur. Je suis sauvé. Commentaire de Cédric dans la chambre – ça sent le clochard. Tu m’étonnes.
Lavé, étiré, on file vers un bar. J’envoie 3 litres de bière et deux planches. Ma sœur et Hendrik nous retrouve, on passe à table, je bois une bouteille. On sort de table, on se pose en terrasse, quelques pintes de plus. J’envoie un whopper. Je sens Cedric chaud, pour le calmer je lui propose qu’on passe au Dolphin – qui se trouve être dans la rue de notre hôtel, à deux numéros exactement ! après la moitié du purro, je manque de m’évanouir dans le coffee, je sors comme un voleur. Propose à Cédric de faire sa nuit sans moi, j’ai plus rien à donner, il est minuit. Je suis content.

Dès le lendemain, je me retrouve à programmer mon prochain marathon. Je serais pas malade. Je vais le déchirer. J’ai trop hâte. Le Marco d’il y a quatre ans avait bien raison.

Je suis vraiment débile.

vidéo finish ici

14 oct. 2016

Champiraid 4ème édition.

Etaient présents : le CNPDD, le CSDPP, le CPSAV et le CVZ (Comité Versaillais Zérozappant)

Etaient absents : de nombreux zappeurs aux motifs tous plus farfelus les uns que les autres je cite dans le désordre :
- travail
- flemme de se lever
- zappance

N'écoutant que leur courage, le CNPDD et le CPSAV se donnèrent rdv dans la première voiture du train à destination de Versailles Rive Droite pour profiter du voyage en écoutant de la bonne zik des chanteurs français oubliés des 80's.
Le vil comité zappant SNCF tenta de déjouer ces plans en annulant le train du CNPDD au dernier moment. En vain car dans sa plus totale fomblardise, la SNCF ne sut respecter l'horaire du train du CPSAV qui arriva en retard en gare de Saint-Cloud. Le CPSAV put donc profiter d'un playlist adaptée à cet horaire matinal, ce qui le mit en grande forme pour la suite.

Le CVZ nous attendait de pied ferme devant la gare. Il nous fit visiter les alentours de sa nouvelle demeure.

Ensuite nous nous rendîmes d'une allure volontaire vers les provinces reculées du Haut-Orgevalstan.


Peu familier des coutumes étranges de ces contrées, le CNPDD entra dans la chaumière du CSDPP sans accomplir le rituel d'usage, ce qui lui valut moultes remontrances et commentaires acides de la part du maître des lieux. Néanmoins ce dernier, respectant la traditionnelle hospitalité des campagnes vierges de toutes influence civilisatrice, nous offra le café-whisky-madeleines de rigueur pour nous encourager dans notre périple.


C'est ainsi que, le cœur léger, les tripes enjouées, et le pas svelte, nous nous dirigeâmes vers le bois de la marquise de St-Remy afin de quêter des trompettes de la mort. Dans ces bois hostiles nous decouvrîmes maintes reliques de peuplades primitives, mais point de champlards, ce qui suscita chez le CPSAV ce commentaire fort à-propos : "Putain de retraités de merde, sont déjà venus tout rafler."

Décidés à ne point rentrer bredouilles, nous nous repliâmes vers le bois dit de la Vente-Bertine. Grace à l'instinct du CNPDD, de nombreuses cèpres fûrent découvertes. Enfin nombreuses... par rapport au nombre de champignons ce jour là dans la forêt... la récolte ne fût pas abondante, mais la qualité était au rendez vous.
Certains esprits moqueurs se permettront de critiquer notre récolte. Je les attend de pied ferme ces odieux zappeurs incapables de se lever de bon matin et je leur adresse un ferme "dégage" préventif.

Pendant que notre apéritif champêtre rissolait dans la poêle, de nombreux débats fusèrent entre les comités présents.
Par exemple le CPSAV nous soumit le sujet de dissertation suivant : "Entre Martine Aubry et Ségolène Royal, qui est la plus bonne" Après avoir écouté nos argument (unanimes) en faveur de dame Ségolène, le CPSAV nous apporta la contradiction.



Joseph se joignit à nous pour déguster cette poêlée automnale ainsi que la vinasse goulue d'une cuvée locale.

Restant sur leur faim et leur soif, les comités réunis votèrent à l'unanimité la résolution suivante : oui au déjeuner dans le restau italien sur la RN13. Accueillis de manière charmante par les hôtesses des lieux, ils purent se remplir le ventre de victuailles bien assaisonnées et de liqueurs savoureuses.


Sur ce, je vous dit chuce, et à bientôt pour la revanche des comités contre la nature hostile du Haut-Orgeval.

zero!

10 oct. 2016

le post le moins important de l'année?

Non mais sérieux. Le mec fait de l’ombre à Nelson tellement il zap, et après un post je vois l’ensemble des participants de ce blog se fendre de compliments et d’éloge sur « ZE » post de 2016 de Squeak.

Certes, nous avons tous apprécié le style toujours étonnant de l’écriture et les références incompréhensibles. Certes, le post contient tous les éléments nécessaires à flatter notre vanité : une référence au vin pour la Princesse, des photos des Sans Frigos Fixes, un big up GTA, des allusions surfantes (je sais pas si la vidéo qualifie, tu cherches à prouver que tu as fait du body board ? ^^), des listes de bouffes ricos (et du 40oz), et même des insultes sympathiques pour les puants de banlieues en tout genre.

Mais quel escroc. Ne comptez pas sur moi pour scrollpester d’avantage cette semaine – mais plutôt de post-bomber Squeak avec un mini CR-Scoop sur Captain. (et de lui adresser un cordial bouge au passage).

Tout commence ici :



Une tradition est née le samedi 1er Octobre. Une rassemblement de au moins deux Zérozappeurs, avec un objectif final de faire du dèj du samedi une affaire méritée et gustative.
Je propose donc à Captain de pointer à la casba de pointer pour qu’on s’envoie un bon platale de fruits de mers, nommément des huitres. La mer me manque trop, et ses produits surtout !

Sitôt proposé sitôt accepté, l’affaire fut vite réglée et voici que l’invitation se reciproquise.

C’est donc là qu’on en vient à la photo incriminante. Avez-vous eu le temps de trouver le dossier ?

Serait-ce bourdon qui zap ?
Captain qui zap pas ?
Del Courso qui se planque ?

Tsk, tsk. Rien de tout cela. Voyez plutôt :


Cela se passe au niveau du frigo. Mais quoi, me direz-vous – il est blanc il est beau, c’est un frigo. Quel est donc ce scoop ?
« ah mes amis », vous répondrais-je aussitôt – « penchez-vous donc de plus prêt sur ce qu’il contient ! «

« il contient des aliments, t’es con » me verrais-je répondre je suppute. « Mais non, rapprochez-vous ! »


« oui bah une coupure de leur mariage dans un magazine, c’est plutôt normal non ? »

Et BAM. Le scoop. qui l'eut cru.


Zéro.

Princesse BAF.

6 oct. 2016

CR le plus important de l'année : I went to LA on vacation

Pour bien démarrer les choses :

BOUGEZ

Je revendique ma place dans la Zappance Box
Je serais LE zérozappeur de l'année
Ceci sera mon unique post pour 2016 (ou pas...)


Donc oui, j'ai vaguement assuré à Maudiette et JBeuh que je ferais un post. J'étais bourré. Je crois.
So here goes :


À quoi bon partir?

Le prétexte initial


40 ans, ça se zappe aps
(Y'avait du vin, beaucoup de vin, Princesse. Et des cigares. Et du son. Et de la bouffe. Mais ça tu t'en fous)

Un autre prétexte



Califam represent. Le beauf était cool, l'ex-beauf aussi, et puis... la marmaille :
  • Inspection en règle du statut des jouets de bain de mon neveu. Important, non, essentiel.
  • Y'avait ma nièce aussi. 16 ans. Va falloir attendre pour se taper des bars ensemble comme à paname
Le lieu


Lawndale California (j'ai squatté chez ma reus)
Oui. J'ai répondu à l'appel du 40 oz de Bud



La vue d'en face : palm trees, blue sky, blimps, and Mustangs FTFW

 Que s'est-il donc passé?

3 jours d'anniversaire
(je crois que vous avez déjà compris)

De l'administratif
Renouvellement de permis. Chiant

Un débat Trump/Clinton
Ça me brûle les doigts rien que de référencer cette ânerie
Mais y'avait du monde, de la bibine, et... de la bouffe

De la - vraie - bouffe
  • Popcorn chicken
  • BBQ ribs
  • Orio Cookie pancakes
  • Waffles and chicken
  • Tacoooooos
  • New York style pepperoni pizza
  • Panda Express "Chinese" food
  • Salt&Straw ice cream (ambiance : Ben&Jerrie's c'est beaucoup trop lège)
  • Esquive du healthy food de Diana ;)
... en résumé : niveau crouste, j'en ai joyeusement chié pour le restant de l'année

Un documentaire sociologique en immersion


C'est un gang local assez vénère (notez l'absence de frisbee), qui roule en wagonnet et en mini-van - mal assumé (je ne prends pas le risque de mettre les preuves ici) -
Le petit en bas à gauche est spécialisé dans la robotique version jouets, l'aviation illustrée et l'alternance bouderie/béatitude : ce cartel a un avenir flippant
La petite essaye sans cesse de faire tomber le chef et m'a immédiatement traité comme son laquais
Y'a une autre responsable, mais qui semble être la couverture présentable du gang donc je vais, là aussi, éviter de la cramer... ah bah merde, c'est déjà un peu fait dans la rubrique précédente


Le chef précité est un charclo qui, sans son déguisement de surfeur, zone dans la rue. En même temps il aime visiblement ça


Avec un business kit qui impose - finalement - le respect (bon, c'est un disque freestyle, mais c'est très, très bien passé)


Y'a des épreuves d'intégration hyper violents
Le nouveau venu montre ici ses aptitudes effrayantes (le capo ne zappe toujours aps, joli)
J'ai pu croiser un des patriarches - un certain Uncle J - après avoir tristement zappé la cheftaine suprême avant de partir. Il puait le kif

Un peu de sport




Oui, j'ai commencé tranquillement, bougez
Ça ne se verra malheureusement pas, mais une des jeunes membres du gang s'est fait péta son boogie board pour la semaine comme une bleue : karma proceeded to wipe my ass out repeatedly
Frisbee, basket et j'ai déjà parlé des marathons bouffe et re-choppage de permis...

Un pèlerinage GTA SA/V


Ammu-Nation
C'est à côté de chez ma reus... :D
FYI, I did not hear one gun shot during the whole trip O_0


Del Perro pier


Backlot City


Pénalité : j'ai pas eu le temps de dégainer pour le flic motard avec le large soda calé dans son cup-holder spécial guidon

Une mission

Jurom : j'attends de voire le résultat de mise aux normes esthétiques de ta tire 

Hélas, un départ

 9 jours, c'est court


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5 oct. 2016

Archéologie digitale - La danse du pécore retrouvée!


Elle était bien cachée, dans un sous-répertoire de mon répertoire musique, avec le titre évocateur "DSCN0841".

Quel grand moment. On attend avec impatience la contribution de la BAF et du Comité Clodo.

Zero

3 oct. 2016

CR Copenhague


C’est parti pour le CR de cette pure ville nommée Copenhague! Tellement génial d’être dans une ville pas remplie de connards qui s’insultent tout le temps. Le niveau de propreté et de politesse à travers la ville est incroyable. Je kiffe. Je ne serais pas contre prendre ma retraite là bas. Première petite photo du metro direct de l'aéroport et en 20 minutes dans la ville. Metro automatique sans conducteur à 2.5-3 minutes d’intervalle. Parfait.


Premier soir on trouve un petit bar pas trop loin du Ehrbeehainebee (avec terrasse svp). Mikkeller and Friends. Pur bar avec environ 50 bières artisanales en pression. Ca n’a pas pris longtemps de décider d’y retourner tous les jours. On a même fait d'autres bars Mikkeller dans la ville. En tof le Beef Jerky fait maison absolument incroyable et bien épicé.


Lendemain balade obligatoire dans toute la ville avec des vues incroyable comme à Nyhavn avec des magnifiques bateaux comme ces deux bateaux en bois


Découverte du quartier de Christiania. Endroit complètement insolite. Un mini Amsterdam en plein milieu de la ville. J'avais déjà trouvé un gamin dans le parc la veille en arrivant. Donc on est juste passé en touriste.


Le bridge selfie obligatoire.

On a bouffé dans un food court de ouf. On a pris des Bahn Mi bien buens et je pense que j'aurais tout goûté si je pouvais, à part le Brioche Dorée qui avait rien à foutre là dedans.


Le lendemain on a fait un autre food court complètement irréel. Y avait des truc comme du Korean Street food ou ce van Mexicain qu'on s'est fait. Purs tacos et burritos bien buens, digne de SoCal.



Obligé de passé voir la petite sirène. Y avait tellement de monde, c'est la Mona Lisa du Danemark, c'est clair.


On etait à velo le lendemain donc on a vu encore plus de la ville. On est allé jusqu'au Carlsberg Brewery et je pense que vous allez aussi scotcher sur le truc sur le coté de l’éléphant... quid?


 On a fait plein de purs parcs comme celui-ci.


Et on a vu des trucs chelous comme cette guitare dans les vitrines.


Et on est retourné à Christiania, cette fois-ci armé correctement. J'avais zappé le fait qu'on a pas le droit de prendre de tofs. Je voulais prendre une petite photo du Nemoland et du spot, et Heather me jette le regard du "Wtf you doing here?". Accessoirement la grand-mère là s'est roulé un truc énorme. Franchement, j'ai pas vu un truc comme ça depuis mes 18 ans.


Petit spot sympa pour prendre un café avec un concept assez buens. Tout est à 15 couronnes, tout.


Le dernier jour est sorti de la ville avec leur super TER. On est allé à un musée assez incroyable. Le Louisiana. C'est un Modern Art et l'endroit est juste magique avec des vue incroyables. Expo de ce mec là entre autres et j'ai grave kiffé ces peintures. Fully Recommend. He's German, so spizze up the painting!


Plein de sculptures partout dans les jardins.


Voilà je cloture ce CR et ce pur trip à Copenhague avec ce paquet de chips. Je l'ai vraiment pris au pif comme ça un soir. "Pizza" flavor why not? Ensuite quand je l'ai ouvert, j'ai pas capté. C'est juste inimaginable. Je vous challenge de voir tous les truc les plus insolites sur le paquet, y en a tellement. Je vais commencer avec le fait qu'ils ont écrit dessus "And not a single f*** was given that day"

Zero!