CR Parc National du Haut-Jura

Zerochuce,

L'objectif de ces vacances était de faire de la rando avec Toki. Même s'il est pas paresseux quand il s'agit de marcher, j'avais pas trop envie de faire les 3/4 du parcours avec Toki sur mes épaules. D'où l'idée... de louer un poney. C'est comme ça que Misako a trouvé ce spot.

Avant de commencer je vous livre cette photo de mon fils & moi en pleine activité (au Parc de St-Cloud). Pour l'anecdote, on a joué avec des petits boomerangs cet après-midi là, et j'ai réussi à me tordre la cheville en trébuchant dans un trou. Le sport, c'est le mal. 

Fast-forward quelques jours, ma cheville est guérie est nous voilà arrivés sur les rives du lac de vouglans. Malgré le temps magnifique, et l'absence totale de vacanciers, l'eau était trop froide pour se baigner. Par possible de louer un bateau non plus, les commerces de locations étant fermés. Damned, c'était pas l'envie qui manquait.

Le Haut-Jura c'est magnifique, mais la Franche-Comté pour la gastronomie c'est le zéro pointé. De bons produits (comté, mont-d'or, saucisse de morteau, etc) mais une technique culinaire qui frôle de zéro absolu : tout est (trop) gras. Misako a testé la fondue au comté, moi la cassolette francomtoise (mont-d'or+patates+saucisse de morteau+crême) ben autant dire qu'on se sentait pas tout légers à la sortie de table.

 Le jour suivant, promenade en poney dans la montagne, vers Crenans. Je vous présente Quirt ("Kirt") le poney gourmand, qui était plus motivé par l'herbe dans les fossés que la ballade en montagne. Équipe du Trouillomètre 5.0 connecté via Bluetooth à mon smartfomble, je vous livre la courbe du niveau de trouille de Toki en fonction de la dénivelée. Aussi, le taux d'humidité dans mes chaussettes en fonction du temps.

En haut on a pu jouir d'une belle vue sur les Alpes.

Pas moyen de picniquer en haut donc on est redescendus. Pendant qu'on mangeait du jambon et du comté, Toki nourrissait Quirt à de bouquets de fleurs. 

La bière locale. 

Retour vers la montagne, après deux ou trois montées, le poney refuse d'aller plus loin. On a beau tirer sur la corde, l’appâter avec une poignée d'herbes, rien à faire. Il fait demi-tour et nous ramène à la ferme equestre. Pas besoin de gps avec cette bête là, rentrer chez lui il sait faire tout seul. 
Du coup on prend la voiture pour aller faire une autre ballade, à pied pour Toki cette fois, dans les cascades du hérisson.

Toki a pas résisté à l'envie de faire trempette dans l'eau glacée. 

Ensuite retour à Paris sous les nuages. Nul.

Zéro!