23 juil. 2014

0BBQ chez l'Ecuyer, épisode premier.

Malgré les zappeurs, les prévisions météorologiques apocalyptiques, la chaleur et la crasse (en ce qui concerne Payz), le BBQ tant espéré eut lieu, en temps et en heure.

Comme vous avez tous zappé, vous ne comprendrez pas le titre de ce post. Et ce sera votre première punition (d'une longue liste concoctée par nos soins).

Nous arrivâmes chez Payz après un long périple à travers la nature hostile pour trouver le logis de notre hôte étrangement vide.


Nous cherchâmes dans chaque recoin de la propriété puis au loin, nous entendîmes un glapissement. Nous nous dirigeâmes vers l'enclos aux poules, d'où venait l'étrange râle sinistre, avec circonspection. Quelle ne fût pas notre surprise lorsque nous découvrîmes Payz, affolé et assoiffé, enfermé dans la cage des poules. J'en veux pour preuve les clichés suivants :





(Sa présente posture étant destinée à impressionner les volatiles qui devenaient agressifs envers lui.)

Après avoir secouru le malheureux, nous prîmes un instant pour dire du mal des absents, et encore plus de ceux n'ayant même pas daigné répondre à leur téléphone. Puis nous nous attelâmes à la préparation du bbq, comme l'atteste cette image :





Comme vous pouvez le constater, pendant que Payz sue, je le conseille (gracieusement) sur la marche à suivre pour obtenir une chaleur stable et une température de cuisson idéale en ces termes : "T'as qu'à foutre de l'alcool à brûler ça prend pas là!"

Après une attente interminable, de subtiles odeurs de viande grillée s'échappant du barbecue, nous nous attablâmes.



Au lieu de dire les bénédicités, nous choisîmes de dire à nouveau du mal de vous en des termes fort vulgaires que je ne reprendrai pas ici afin de ne pas choquer le visiteur non averti arrivé ici par hasard alors qu'il cherchait une protection contre la foudre; puis nous nous repûmes de ce délicieux repas.

Après quoi nous fîmes la connaissance de la délicieuse Djalila. Encore une histoire dont vous ignorerez les détails. Et c'est votre seconde punition. 

En ce qui nous concerne la soirée fût courte car Toki refusa de dormir dans sa poussette. Nous repartîmes vers la civilisation le ventre bien rempli.

Cimer Payz!

Je vous adresse un cordial zéro, car je suis magnanime et je vous pardonne votre outrecuidance.

En cadeau je poursuis la série de gifs estivaux du CC. Et je surenchéris direct.

11 commentaires:

  1. J'aime beaucoup la 3e photo. On dirait que Payz suce un vieil objet en plastique.

    RépondreSupprimer
  2. La deuxième du coup, j'ai viré la première car Misako ne l'aimait pas.

    RépondreSupprimer
  3. Je tiens à préciser que Renfl n'a rien inventé ou déformé.

    ça se voit pas mais je zappe aps dans le poulailler.

    RépondreSupprimer
  4. ps: c'est Jalila. J'ai fait la même erreur.

    RépondreSupprimer
  5. Comment tu te la pètes avec ton passé simple Renfl!! C'est tout bonnement insupportable.

    RépondreSupprimer
  6. D'autant plus que cela confère un aspect pressé et éphémère à ton histoire qui donne l'impression que monsieur est arrivé montre en main pour libérer un goret, mettre les pieds sous la table, puis se tracer à la première occase dès que le bambin lui donnait du fil a retordre. Un bien bel exemple pour la posterité. Je récuse vos pénalités, vous dis bouge ne vous fais pas licite comme on dit par chez nous. Zero.

    RépondreSupprimer
  7. Moi j'utilise le passé simple parce que ça fait snob, et c'est ça qui est bon!

    zero

    RépondreSupprimer
  8. Très joli Payz! Tellement envie de me pointer avec Diana et les gamins! Ou solo ça le ferait aussi. Dit avec amour bien sur.
    Treg, t'as bonne mine. D'habitude t'es tellement laid que ça fait plaisir.
    Zéro à tous des californiens un peu trop locaux cet été à mon goût.

    RépondreSupprimer
  9. Haha chanmé ta photo de profil secra! Quand je fais ça avec Toki il me laboure le cuir chevelu. Zero

    RépondreSupprimer

Laisse un commentaire ou zap comme un malpropre. Quoiqu'il en soit t'es pénalisable.