Mes suspicions portent notamment sur les propriétaires de smartfomble, cela rend l’espionnage plus simple mais le commenting relou. Écrire des livres avec son pouce sur un petit écran, c’est insoutenable.
Déjà, nous avons des participants de toute les nationalités, le zerozappeur est un citoyen du monde. Voyez plutôt nos sources par pays :
Également, nous sommes un blog littéraire, romantique, jugez plutôt par les mots clés sous lesquels notre blog est associé :
Mais passons sur cette parenthèse. Attardons-nous plutôt sur le CR du dernier BBQ à Orgeval, le Dimanche 19 août.
Nous avions convenu que Renflako nous emmène vers 6h30 du matin depuis Garches. Du coup, nous sommes arrivés vers 12h30 à Garches, ayant bien sûr acheté suffisamment de matos à BBQ pour nourrir l’ensemble des participants et leurs chevaux. Malheureusement, les participants vinrent sans chevaux.
Il faisait 50 ° dans la belle contrée de David Douillet. À l’ombre. Le BBQ commença donc sous la torpeur totale des participants, avec un manque de bières notables. (au passage, « big up » à Payz qui écrit dans ce blog qu’il s’occupe des bières – il s’en est effectivement occupé, puisqu’il en a acheté 12, et bu 3 le temps qu’on arrive. ).
Au rang des accusé, vous pouvez retenir donc Payz, Xeum « j’l’les aient oublié chez moi », K-lobster, et bien sur tous les non-participants à ce BBQ.
Quoi qu’il en soit, la chaleur et l’oubli des bières ont concouru à ce que nous buvions des quantités dantesque d’eau. Pour se distraire, nous mimes donc de nombreuses objets dans la carafe : feuille de menthe, citron, glaçons….
Les participants découvrirent aussi « les cornes de bœuf », un poivron / piment que j’ai découvert en Espagne, aussi appelé « Pimiento del padron », qui se grille sans additif et se sert brulé. Tout BBQ ou je serais présent aura désormais ce plat en entrée / apéro.
Nous passâmes une après-midi très, très calme, à faire le moins de geste possible. Surtout ne pas bouger. Sauf pour remplir la carafe d’eau.
Oisif, suant, allongée dans l’herbe pour certaine, Payz nous proposa une solution pour combattre la canicule : le mode « mist » du jet d’eau de l’entrée. Certains vous diront qu’une fois le jet allumé, vous devez pointer l’embout vers le haut pour que la brume ainsi faite vous redescende gentiment dessus. Je n’ai pas bénéficié de ces instructions, j’ai donc pointé l’embout à 1 centimètre de ma tête avant de mettre plein gaz sur l’embout.
Vers le milieu d’après-midi, n’ayant pas encore réussi à élucider qui des petits vieux muppets était Payz et qui était Captain, la proposition d’un jeu vint. Seul jeu disponible, Trivial Pursuit, édition 2005 « genius ».
Et là, c’est le drame. Trois équipes s’affrontèrent : le comité étranger (Misako – Jenny), le comité qui râle (Payz – Deus), et le comité gagnant (xeum – Khomar).
Je vous passe les détails de cette partie, suffit de savoir qu’alors que le comité gagnant avait déjà 5 camemberts, le comité qui râle n’en n’avait qu’un ! quels bandes de fombles.
Pour se justifier de tant de nullitude, ledit comité en vint donc à accuser les autres joueurs, refuser des camemberts au comité étranger, et tout simplement se réfugier derrière « nos questions sont trop dures, les vôtres sont faciles ».
Tout cela, plus le départ de la moitié du comité qui gagne, n’empêcha pas une victoire éclatante du comité qui gagne. Nous noterons aussi une quasi égalité pour la deuxième place, le comité qui râle arrivant péniblement en deuxième.
Repu, suintant, et enfin rafraichit, nous nous dispersâmes enfin dans nos quartiers respectifs.
Merci Payz pour ce squat bien sympa, et merci à Trivial Pursuit « Genius edition » grâce à qui nous savons désormais qui est Malevitch, comment s’appelle son ex-femme, qui fut le maire de la ville où il vécut pendant son adolescence, et que Deus est une quiche au trivial pursuit.
0.
