Acte 1. Istanbul

"Les vacances, ça sert à rien. ça coute trop cher et en plus tu reviens crevé."

N’empêche que c'était bien cool de prendre 8 jours et de me barrer de Paname. Premier jour donc, nous décollons de Paris avec la meilleure compagnie aérienne du monde (je lance le débat, et je nomme Turkish Airways).

Arrivée Isanbouboule à 15h, et la, le bordel intégral nous attends. les glaouches ont besoin de visas, le nombre d'enfants par personne dépasse les 4, personnes parlent une langue compréhensible et tout le monde gueule.
Tentative d'arnaque dans les règles dès la sortie de l'aéroport, les stands de taxis te propose l'aller dans la ville pour 150€ (fameuse réponse de la BAF "je cherche pas à l'acheter ton taxi, juste à le louer pour une heure").
Après quelques négos amusantes, je tombe sur un type vaguement honnête, et négocie un prie pour l'A/R avec dépose à l’hôtel et recherche le lendemain. on se fait surclasser, et c'est donc dans une camionnette 8 places que nous allons vers Istabouboule.
la route ressemble à l'aéroport, ya des mecs au milieu de l'autoroute qui te vendent de l'eau, des roses, des glaces (modèle accepté, le magnum), ça klaxonne et ça pue, il fait chaud, c'est l'enfer.
Nous, on kif dans notre bus personnel.

L'hôtel est un plan par un ami, sa copine bosse au Marriott et nous a obtenu le tarot "Friends & Family". Mais en arrivant, la machine marche pas, on doit patienter au moins 5 minutes, résultats ==> surclassement direct. La suite.

BAM.



le lit fait la taille de mon appart, le salon de mon immeuble, et en murmurant à la meuf à l'accueil que c'est le jour de notre anniversaire de mariage elle nous demande si on accepte qu'elle nous offre le champagne.

j'hésite, et finis par accepter à contre cœur. ce jour là, c'est un peu Noël pour l'état major, regarder ce qui passe à la télé pendant qu'on sirote notre champagne:



soirée sur le bord du Bosphore, diner dans un restau de poisson, cette ville me plait et c'est sur que je vais retourner visiter correctement la Turquie dans les années qui viennent.

Petit détail amusant que je remarque le lendemain, la vue (la même qu'afficher précédemment) de l’hôtel qui cachait une perle de la ville. iChacal appréciera.



le lendemain, après la piscine de l’hôtel, on reprend le bus (privé) pour aller vers Beyrouth. on ne se laisse pas aller pour autant:



L'histoire retiendra que j'ai demandé le double whopper avec cheese et bacon.... à Istanbul. boulet.

Zéro. Si ça vous plait je vous ferais l'acte 2 (le Bachelor libanais, le mariage, la fête des mariés), ou le 3 (Beyrouth).