Avant de me lancer, je suis bien sur au courant de la levée de bouclier que ce post risque de provoqué – sous couvert de risée, ou de silence. Néanmoins mon âme souffrant dans cet univers phonétiquement limité du manque de compréhension inhérent au (manque de) style texto et « forum », je m’insurge une nouvelle fois devant l’étroitesse de ces dernières remarques auquel je ne comprends rien (1).
Tel un messie de la langue française, et nul n’étant en son pays prophète, je devine vos rires narquois à la lecture de cette missive ; vous conjure d’en prendre note et de laisser revenir le souvenir heureux d’un temps ou les mots avaient un sens que ne pouvait résumer trois lettres hâtivement enfoncer sur un appareil mobile (2), de ce même temps quand les numéros de vos proches étaient gravés dans vos cœurs et le trajet de retour de l’école se faisait en bonne camaraderie ou en silence, lesdits numéros n’étant bien sur pas des mobiles encore à l’époque inexistants.
« Margarita Ante Porcos », me diriez vous en Grecque, ou bien encore « Vox clamens in Deserto » fussiez vous latiniste…..
Zero, Chuce, Cime, Buene ?
(1). Dans ce chapitre, court et dense, l'auteur expose au moyens de figures de styles hardies - telle la litote, l'amphigouri ou l'oxymore - l'objet de son travail, qui est d'accoucher, dans la souffrance et la sueur, d'un monument, une montagne accessible aux seuls lecteurs volontaires et déterminés, une épopée tragique et multiforme, auprès de laquelle "l'Iliade et l'Odyssée", "
(2). Genre LOL